« Et les « Hével » de Goldmann où il est dit qu’on peut faire du cohérent avec des éléments qui ne le sont point sous réserve d’avoir un sens musical » Nice Matin
« A la suite se plaçait cet évènement que constitue à notre avis « Hével IV » de Marcel Goldmann…Ces quatorze « séances » de dépossession des idées reçues au profit des sensations à naitre et à con-naitre, compteront certainement parmi les créations capitales de cette époque ; ces quatorze retours de l’homme à la sensation pure, émerveillé de lui-même, parce que justement ils ont su ne pas oublier l’homme derrière l’abstraction des formes, imposeront ces conditions d’un style, savoir : resituer l’homme ( et le restituer ) dans les projections audacieuses de son esprit. Accorder l’homme aux éléments, par le jeu de techniques nouvelles ( de moyens d’approche ), cela n’a-t-il pas été le souci constant de tous les marieurs de sons depuis la préhistoire jusqu’à Schoenberg, en passant par Orphée et Duke Ellington ( et Ravel, ô combien ! ) ? » République du Centre
« Hével VI » de Marcel Goldmann qui marie les ondes Martenot aux percussions Baschet en un long discours de sons inquiétants. »
Le Monde
« Kaddisch » pour quatre violoncelles de Marcel Goldmann émeut par ses longs bramements hiératiques du début et ce dur combat avec les ombres fuyantes. »
Le Monde
« De même, Marcel Goldmann, dont le « Kaddisch » dénote aussi un tempérament. »
Le Figaro Littéraire